• Pédophilie au sein de la gauche caviar : le fruit répugnant de l'idéologie de mai 68

      Jeudi 27 mars 2016, Libération titrait en Une : « Rappelle-toi Barbarin ». Le sous-titre l’accusait publiquement d’avoir couvert des actes pédophiles. Sans vergogne, Libé s’arrogeait le droit de se substituer à la justice et de jouer les procureurs, chose comique lorsqu’on se souvient que le même quotidien faisait à la fin des années 70 la promotion effrénée de la pédophilie. À l’époque, c’était une passion largement partagée à gauche. Sortez votre sac vomitoire !

      « Benoît et son amie ont les mêmes goûts. Ils aiment les enfants, beaucoup. Quand Benoît parle d’eux, ses yeux sombres de pâtre grec s’embrasent de tendresse » (Libération, juillet 1981). Sur internet circule un dessin des petites annonces du journal, où l’on voit un enfant porter vers sa bouche le sexe d’un adulte en érection. Innommable. Et les exemples abondent. Libération et ses publications répugnantes ne sont pas un phénomène isolé : la gauche a promu la pédophilie pendant des décennies, et pas uniquement en raison de la perversité de certains de ses membres.

      Tout est construit

      Bourdieu, Foucault, Deleuze et Derrida. Le quatuor infernal d’où a émergé la « french theory », mère de la théorie du genre. Ces déconstructionnistes, malgré leurs différences, sont animés par une certitude absolue : toute norme sociale est construite, la loi naturelle n’existe pas. Leurs réflexions et actions s’orientent donc vers un objectif, briser l’intégralité des structures naturelles, institutions et usages qui encadraient jusqu’ici l’existence humaine : famille, altérité sexuelle, politesse, enseignement. Il s’agissait de faire du passé table rase.

      Puisque tout est construit, et qu’il n’y a ni bien ni mal, aucune barrière ne se justifie devant les pulsions du désir. Leur idéologie a prospéré très facilement dans le nihilisme consumériste de la génération baby-boom qui n’aura connu ni guerre ni chômage. Le jeu des dominos législatifs a commencé avec l’avortement, combat fondamental, qui a irrémédiablement fissuré la famille et défini le bonheur individuel comme norme absolue. Le PACS fut le second coup porté à la famille, avant le mariage homosexuel, la PMA et bientôt la GPA.

      Le tabou, voilà l’ennemi. Même l’inceste, tabou anthropologique premier et exemple chimiquement pur de la loi naturelle, est remis en cause, Claude Lévi-Strauss l’ayant analysé comme une pratique destinée à favoriser la circulation des femmes et de leur patrimoine génétique, ainsi qu’un usage diplomatique de petite échelle ; autrement dit une simple construction. Dans cette logique, puisque le désir individuel est le seul critère, la pédophilie n’a plus rien de choquant, au même titre que l’homosexualité.

      Jouir

      Dès lors, les pétitions se sont succédé à gauche pour dépénaliser la pédophilie. Tous les noms qui constituent le panthéon intellectuel de la gauche y figurent. Pêle-mêle : Michel Foucault, Simone de Beauvoir, Patrice Chéreau, Louis Aragon, Bernard Kouchner, André Glucksmann, François Châtelet, Philippe Sollers, Roland Barthes, Jean-Paul Sartre, Jack Lang, Gilles Deleuze, Jacques Derrida, Françoise Dolto, Alain Robbe-Grillet, Félix Guatari, Daniel Guérin… Des figures de la gauche, jamais avares de reproches moraux, ont assumé sans pudeur leur attirance pour les enfants, voire des passages à l’acte, comme Frédéric Mitterrand ou Daniel Cohn-Bendit.

      La promotion de la pédophilie s’est faite dans des journaux, institutions ou partis politiques dont certains membres sévissent encore aujourd’hui: LibéLe Monde, et plus anciennement la Ligue communiste révolutionnaire, le Front homosexuel d’action révolutionnaire, etc.

      L’hostilité à la pédophilie s’est manifestée chez la première génération née de la révolution sexuelle. Lorsqu’en 1985 les Verts allemands proposent d’abolir la majorité sexuelle, c’est le tollé dans toute l’Europe. Les écrits de Cohn-Bendit sur ses jeux sexuels avec des enfants racontés dans son livre Le Grand bazar publié en 1975, lui sont finalement reprochés en 2001. Il se dédit, invoquant « une envie de braver les interdits » et prétend que ce récit est imaginaire.

      Peu à peu, le joyeux brouillard des années 68 se dissipe, faisant apparaître une situation humaine apocalyptique. Les libertaires ont mis à bas en quelques décennies les murs porteurs de la civilisation, déchaînant une extrême violence, livrant les plus faibles aux prédateurs. L’homme est abandonné pieds et poings liés au marché par ceux qui prétendaient l’en affranchir. Il s’en est fallu de peu pour que l’enfant le soit aussi (mais l’affaire n’est pas close : voir la PMA et la GPA). En attendant que la femme passe aux enchères.

      Louis Lecomte

      Source : https://lincorrect.org/menu-enfant/


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  • Parodie Tintin / Les Aventures de Pinpin

    Le (Film). 

    Le 02/03/2019, est enfin diffusé les Aventures de Pinpin lors de deux avant-premières. Ce film aura nécessité deux années de travail pour toute l’équipe de Revol Arts.

    Ce 15ème long-métrage marquera par son style totalement inédit avec une parodie novatrice, mais respectueuse de l’univers de Tintin. Ce film amateur est un projet à but non lucratif, uniquement réalisé par des passionnés. Le long-métrage est disponible gratuitement et sans publicité sur YouTube ► http://www.youtube.com/watch?v=-1t1Ib... Parce qu’il achète une bourriche d’huîtres chez un traiteur, Pinpin, un jeune reporter, se retrouve entraîné dans une aventure à la recherche d’un étrange mystère. En effet l’une des huîtres s’avère être bleue… En enquêtant sur cette énigme, il contrarie alors les plans d’Alban, un de ses vieux ennemis. Avec l’aide de Milouz, son fidèle petit chien blanc, du capitaine Cradock, un vieux loup de mer au mauvais caractère, du grand scientifique le professeur Tournedisque et de deux policiers maladroits, les Dupuid et Dupuit, Pinpin va parcourir la moitié de la planète, et essayer de se montrer plus malin et plus rapide que ses ennemis. Revol Arts (Réalisation de longs-métrages amateur sur Lyon depuis 2001) ► http://revolarts.fr


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  • L’insolite silence de l’Elysée face aux inacceptables « exigences » algériennes

    Le blog officiel de Bernard Lugan

    En parlant de la colonisation comme d’un « crime contre l’humanité », Emmanuel Macron a ouvert une boite de Pandore qu’il ne pourra plus refermer. Déjà, le 15 juillet 2019, Mohand Ouamar Bennelhadj, secrétaire général par intérim de l’ONM (Organisation nationale des moudjahidines, les anciens combattants), avait appelé les députés algériens à voter une loi criminalisant la colonisation française. Maintenant qu’il y a tout à craindre du rapport de la « commission Stora » sur la « mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie » qui devrait remis au début de l’année 2021, voilà déjà les demandes de « réparations » qui s’accumulent. Certaines exigent la remise des archives de l’Algérie française, d’autres formulent des demandes de « dédommagement » s’élevant à 100 milliards de dollars !!!L’Etat semblant avoir renoncé à défendre l’image de la France et ses intérêts face à ces exigences à la fois surréalistes et insupportables, il ne reste donc que la réaction citoyenne et la mobilisation du « pays réel » à travers les réseaux sociaux. Tel est le but de cette analyse.
    Puisque le « Système » algérien veut faire les comptes, nous allons donc lui présenter l’addition de ce que l’Algérie a coûté à la France entre 1830 et 1962…sans parler du coût colossal de l’immigration depuis cette dernière date…
    Au mois de juillet 1962, au terme de 132 années de présence, la France avait créé l’Algérie, lui avait donné son nom, l’avait unifiée et lui avait offert un Sahara qu’elle n’avait, et par définition, jamais possédé puisqu’elle n’avait jamais existé auparavant. La France avait drainé ses marécages, avait bonifié ses terres, avait équipé le pays, avait soigné et multiplié par dix ses populations. Elle avait également fait entrer dans la modernité des tribus jusque-là dissociées qui n’avaient jamais eu conscience d’appartenir à un tout commun supérieur.
    La France laissait en héritage à l’Algérie indépendante :- 70.000 km de routes, - 4300 km de voies ferrées, - 4 ports équipés aux normes internationales, - une douzaine d’aérodromes principaux, - des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), - des milliers de bâtiments administratifs, de mairies, de casernes, de gendarmeries, - 31 centrales hydroélectriques ou thermiques,- une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie, - des milliers d’écoles, d’instituts de formation, de lycées, d’universités, d’hôpitaux, de maternités, de dispensaires, de centres de santé, etc.
    Tout cela avait été créé par la France, pensé et réalisé par des ingénieurs et des architectes français, et payé par les impôts des contribuables français.
    En 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait à elle seule 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que le budget de l’Education nationale ou ceux, additionnés des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce. 
    Et cela, en pure perte car, économiquement, l’Algérie n’avait pas d’intérêt pour la France. Qu’il s’agisse des minerais, du liège, de l’alpha, des vins, des agrumes etc., toutes les productions algériennes avaient en effet des coûts supérieurs à ceux du marché. Ainsi, alors que le vin comptait pour près de 54% de toutes ses exportations agricoles vers la métropole, le prix de l’hectolitre qu’elle vendait à la France était largement supérieur à celui produit en Espagne, ce qui n’empêcha pas la métropole de se fermer au vin espagnol pour s’ouvrir encore davantage au sien… En 1930, le prix du quintal de blé était de 93 francs alors que celui proposé par l’Algérie variait entre 120 et 140 f, soit 30 à 50% de plus. 
    Quant au pétrole, il avait lui aussi été subventionné par la France. Découverts en 1956, les hydrocarbures du Sahara furent mis en production entre 1957 et 1959, avec une exploitation qui débuta véritablement en 1961, quelques mois donc avant l’indépendance. Or, comme Daniel Lefeuvre l’a clairement montré, l’Etat français fut quasiment contraint d’imposer à des compagnies réticentes de s’investir dans cette production. En effet :- Le pétrole algérien devait obligatoirement être vendu sur le marché mondial car il était trop léger pour la transformation en fuel dont avait alors besoin l’industrie française.- A cette époque le marché mondial était saturé. L’URSS bradait ses huiles à bas prix et les gros producteurs du Moyen-Orient limitaient leur production. - L’Algérie et la Libye arrivant en même temps sur le marché la chute des cours allait être accélérée, d’autant plus que le pétrole libyen était plus facile à exploiter et à écouler que celui d’Algérie.- Le brut algérien était cher : 2,08 $ le baril contre 1,80 $ au cours mondial. 
    Résultat : là encore, la France a surpayé un pétrole dont elle avait pourtant financé les recherches et la mise en exploitation, phénomène qui se poursuivra d’ailleurs après l’indépendance.
    Quant à l’immigration algérienne en France, et là encore, contrairement à tous les poncifs, elle n’a correspondu à aucune nécessité économique, l’absence de qualification et de stabilité de cette main-d’œuvre nécessitant la mise en place de mesures d’adaptation inutilement coûteuses. De plus, contrairement à la vulgate, l’afflux d’Algériens en métropole, dans les années 1950, n’a pas répondu aux besoins en main d’œuvre de l’économie française au cours des années de reconstruction ou des « Trente Glorieuses » puisque, sur 110 000 Algériens recensés en 1950 dans la région parisienne, Daniel Lefeuvre a montré que 50 000 n’avaient pas de moyens d’existence réguliers. De même, en 1957, sur 300 000 Algériens vivant en France le nombre de sans-emploi était de 100 000… 
    En Algérie où tout était plus cher qu’en métropole, année après année, la France a comblé la différence. Par comparaison avec une usine métropolitaine, l’ensemble des dépenses, salaires et accessoires était ainsi de 37% plus élevé en Algérie, ce qui faisait qu’une usine qui y était construite n’étant pas rentable, il lui fallait donc, non seulement un marché subventionné par la France, mais en plus un marché protégé… 
    Au lieu d’avoir pillé l’Algérie comme l’affirment contre la vérité historique et économique les dirigeants algériens, les culpabilisateurs et les « décoloniaux », la France s’y est au contraire ruinée. 
    Par le labeur de ses colons la France avait également permis à l’Algérie d’être alimentairement auto-suffisante. Aujourd’hui elle est le premier importateur africain de biens alimentaires pour un total annuel moyen de 12 à 14 milliards de dollars (Centre national algérien de l'informatique et des statistiques-douanes-CNIS). 
    Pour mémoire, en 1961, l’Algérie exporta 600.000 quintaux de grain et 700.000 quintaux de semoule. Aujourd’hui, la moyenne annuelle des importations de ces produits se situe entre 5 et 30 millions de quintaux par an. L’Algérie n’exporte plus d’oranges alors qu’avant 1962, les exportations étaient de 200.000 tonnes. Elle n’exporte plus de tomates (elle en exportait 300 000 quintaux avant 1962), de carottes, d’oignons, de petits pois, de haricots verts, de melons, de courgettes etc., toutes productions qui faisaient la richesse de ses maraîchers avant 1962. Avant cette date, les primeurs algériens débarquaient à Marseille par bateaux entiers. Notamment les pommes de terre nouvelles dont les exportations annuelles oscillaient entre 500.000 et un million de quintaux alors qu’au 4e trimestre 2020, rien qu’en semences, et pour la seule France, l’Algérie en a importé 4300 tonnes (Ouest-France 14 décembre 2020). Toujours avant 1962, l’Algérie exportait 100.000 hectolitres d’huile d’olive et 50.000 quintaux d’olives tandis qu’aujourd’hui, la production nationale ne permet même pas de satisfaire la demande locale. La seule facture de lait en poudre et de laitages atteint en moyenne annuelle quasiment 2 milliards de dollars.
    Alors que la moitié de la population a moins de 20 ans, le pays est dirigé par des vieillards dont la seule « légitimité » repose sur le mythe de la résistance à la colonisation et sur d’auto-affirmations « résistancialistes » le plus souvent imaginaires. Quant aux nombreuses associations d’ « ayants-droit » auto proclamés acteurs ou héritiers de la « guerre de libération », dont les Moudjahidines ou Les enfants de martyrs, elles bloquent la jeunesse sur des schémas obsolètes qui tournent le dos à la modernité. Avec 6% de toutes les dotations ministérielles, le budget du ministère des Anciens combattants est ainsi supérieur à ceux de l'Agriculture (5%) et de la Justice (2%)…La cleptocratie d’Etat qui, depuis 1962 a fait main-basse sur l’Algérie indépendante a dilapidé l’héritage laissé par la France avant de détourner des dizaines de milliards de dollars de recettes gazières et pétrolières sans songer à préparer l’avenir. Après avoir ruiné le pays, il ne lui reste donc plus que son habituelle recette : accuser la « France coloniale ». Et pourquoi cesserait-elle d’ailleurs de le faire puisque, à Paris, les héritiers des « porteurs de valises » boivent avec tant volupté au calice de la repentance…encouragés en cela par le président de la République lui-même…
    Pour en savoir plus, on se reportera à mon livre Algérie l’histoire à l’endroit.
     
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