• AU THEATRE CE SOIR  

    PAUVRE FRANCE

    THEATRE


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  • TRAIN DE NUIT

    Genre : Action Crime -Thriller

    Ce film raconte : A la veille de Noël, dans la cabine d'un train de nuit, deux passagers et le contrôleur découvrent un homme mort. Lorsqu'ils se rendent compte que celui-ci transportait des diamants, ils décident de se débarrasser du corps pour se les partager. Leur complot prend une tournure sanglante quand ils en viennent à découper le cadavre pour le dissimuler dans une malle. ►Train de Nuit - Night Train : ►Origine : Allemagne, Roumanie, États-Unis ►Réalisé par : Brian King ►Acteurs : Danny Glover, Steve Zahn, Leelee Sobieski Geoff Bell, Matthias Schweighöfer Togo Igawa, Richard O'Brien  - 


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  •  LA BLONDE ET LE SHERIF

     

    CINEMA

    CRITIQUE 

    Dans les années 1950, Raoul Walsh est toujours l’un des réalisateurs les plus puissants d’Hollywood. Son rythme de production reste soutenu et la puissance de sa mise en scène demeure intacte la plupart du temps. Son contrat d’exclusivité avec la Warner a pris fin et, depuis 1952, il passe d’une firme à l’autre, de la MGM (La Ruelle du péché) à la Universal (Le Monde lui appartient), de la Columbia (Bataille sans merci) à la RKO (Barbe Noire le pirate), tout en revenant ponctuellement à la Warner (Le Cri de la victoire et Les Nus et les morts, deux œuvres extraordinaires). Il continue son éclatante carrière, en traversant tous les genres, comme il en a l’habitude. Dès 1955, il entame une collaboration assez fructueuse avec la 20th Century Fox, avec entres autres trois westerns. Les Implacables lui permet de filmer les grands espaces en Cinémascope (format large extrêmement prisé de la Fox qui l’emploie dès que faire se peut) et de tracer une aventure humaine simple, forte et pleine d’enthousiasme. Le Roi et quatre reines demeure sans aucun doute le meilleur pour sa capacité à mélanger cynisme, romance et chasse au trésor. Un véritable jeu de séduction survolé par un Clark Gable au sommet et un défilé d’actrices quasi-parfait. Le troisième et dernier western, de très loin le plus imparfait et dans le même temps le plus curieux, s’intitule La Blonde et le shérif. Sortant du tournage des Nus et les morts, œuvre dantesque et personnelle à bien des égards, Walsh s’accorde non seulement une pause comique, mais réalise un film atypique dans sa carrière, pour ne pas dire unique. Il faut tout d’abord dire qu’au sein de la production hollywoodienne de l’âge d’or, la comédie-western est un étonnant sous-genre souvent mal exploité et qui, tout compte fait, n’a connu que peu de films honorables. Exceptés L’Aventure fantastique, où Eleanor Parker embrase le ton du film de sa fougue légendaire, La Vallée de la poudre, plaisante sucrerie, ou encore Le Grand Sam, avec un John Wayne hilarant, le reste demeure dans les tréfonds de la médiocrité. Or, à côté de tout cela, sans être une grande réussite non plus, force est de constater que La Blonde et le shérif fait partie des meilleures productions du genre.

    Prenant tout d’abord place dans une Angleterre victorienne guindée (avec ses Anglais pur jus persuadés que l’Amérique leur reviendra à nouveau) et technologiquement en ébullition (l’invention de la voiture sans chevaux, ci-contre à droite, ou le revolver de manche, objet d'un running-gag un peu mou), La Blonde et le shérif interloque et séduit tout à la fois. Raoul Walsh a en effet l’air de céder au comique pompier, entre retenue britannique forcée et effets burlesques, notamment avec cette voiture peu à peu en flammes après avoir émis quelques bruits disproportionnés. Le message est donné d’entrée de jeu : le film ne sera pas forcément de toute première finesse, mais jouera à fond la carte des différences entre l’Angleterre racée et l’Amérique sauvage. En l’occurrence, nous pouvons constater que dans sa première partie, cela fonctionne plutôt bien. Certes, on ne rit de bon cœur que rarement, mais au moins on sourit, et surtout on s’amuse. Une fois arrivé dans l’Ouest, notre héros anglais affable et singulier est ainsi totalement dépassé par les événements. Il arrête une attaque d’Indiens par une leçon de morale et arrive dans l’hôtel-saloon d’une ville en provoquant l’incompréhension. Il s’agit de la ficelle humoristique la plus utilisée par le scénario, ce constant décalage entre deux cultures, forçant le trait de tous côtés, allant jusqu’à poser une barrière dans le langage (accent et patois local sont plus que jamais de rigueur). Le personnage ne comprend de ce fait que la moitié de ce qu’on lui raconte et ne saisit jamais les véritables enjeux qui se déroulent sous ses yeux. Il faut le voir accepter de boire du whisky en ne comprenant absolument pas que son interlocuteur cherche simplement à le provoquer et à le tuer. Par ce biais, le réalisateur tire le maximum de cette partie du sujet, en parodiant tous les lieux communs du western : le saloon, les tueurs locaux, le croque-mort, le cimetière, le manque d’éducation, la loi du fusil, la lâcheté des uns et la bêtise des autres. 

    Pour la première et seule fois de sa carrière, Walsh s’autorise une véritable récréation dans laquelle il rabaisse l’Ouest et ses mythes, tout en accentuant la perte de repères ressentie par un étranger venu d'une l’Europe finalement trop civilisée. Il n’est pas question de morale ni de quelconque psychologie, tout n’est qu’humour au second degré et fantaisie. Et les bonnes scènes ne manquent pas, avec par ailleurs une partie de poker assez loufoque, et où notre Anglais se laisse conseiller par un chien, ou encore cette cabane abritant une famille vivant dans la saleté (le mari obtus et le gamin parmi les chiens). Devenu shérif par erreur et cherchant à vendre des fusils de « gentlemen » qui ne peuvent en rien rivaliser avec les Winchesters désormais installées dans l’Ouest, le héros parcourt donc le film de son élégance, s’offusquant de la moindre immoralité. L’acteur anglais Kenneth More est excellent dans cette posture, et la relative réussite du film lui doit beaucoup. Quoique son personnage émette un soupçon de misogynie (très discret, davantage ressenti qu’aperçu explicitement), il faut avouer que son verbiage, son visage incrédule et la sympathie qu’il promène font mouche et contrastent habilement avec l’antipathie dégagée par chaque élément autour de lui.

    Malheureusement, comme c’est si souvent le cas pour ce type de films, l’ensemble s’épuise sur la durée. Arrivé à la moitié de l’histoire, le récit n’avance plus et commence un peu à recycler les gags. La routine s’installe et le spectateur commence à trouver le temps long. Outre cela, le chapitre qui se concentre sur les Indiens est à peine convenable et, véritable comble pour une pantalonnade comme celle-ci, provoque un petit malaise (les femmes indiennes qu’il faut marier, les acteurs mal grimés…). 

    Enfin, la séquence musicale dans le canyon, avec ses effets d’écho, n’est guère supportable. Techniquement, le film est soigné mais un peu froid et impersonnel. On a pourtant droit à un Cinémascope princier, à la belle photographie d’Otto Heller (responsable de la photographie du Corsaire rouge de Robert Siodmak ou bien des Maléfices de la Momie de Michael Carreras) et au savoir-faire de Raoul Walsh, même si ce dernier ne semble pas profiter d’une grande inspiration : son génie ne s’exprime pour ainsi dire pas. C’est propre et solide, mais il est inutile de comparer avec le reste de sa filmographie. En fin de compte, un ennui poli s’installe par endroits, et l’on doit plus que jamais compter sur l’abattage de Kenneth More, ainsi que de Henry Hull, truculent second rôle ivrogne et couard. En revanche, il faut concéder que More n’est pas bien épaulé par sa partenaire féminine. Jayne Mansfield, sorte de sous-Marylin Monroe (et sous contrat à la 20th Century Fox qui désirait profiter du filon de la poupée blonde peroxydée), n’est pas du tout convaincante. Elle se révèle au contraire gênante pour le film et agaçante pour le spectateur. Son jeu n’est pas très juste, et surtout elle ne maitrise pas le sens comique voulu par le scénario. C’est en grande partie à cause de sa présence et de sa piètre performance que le film ne décolle jamais vraiment. Et puis, il est terrible de voir à quel point la Fox désirait cloner Marylin, si bien que l’on finit par ne voir ici qu’un succédané sans saveur. Jayne Mansfield n’aura, au fond, jamais été meilleure que dans son rôle sur-mesure de La Blonde explosive.

    La Blonde et le shérif est donc un petit Raoul Walsh, assez original, et s’affichant comme étant une curiosité dans sa longue et prolifique carrière. L’humour potache le dispute régulièrement à un décalage prononcé, et la prestation de Kenneth More tire indéniablement le film vers le haut, ce qui parvient à divertir convenablement. Prenons donc ce film pour ce qu’il est : une pause détente sympathique.

     


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  • LES TUEURS DE LA REPUBLIQUE

     Voici l'image de notre nation montrant a quel point nos chefs d'état n'oublie guerre lés hommes est femmes assassiné par dès hommes non pacifiste et montrent à quel point nos prédécesseur chef d'état n'oublie guerre lés acte odieux et horrible commis par dés terroriste voici à quel point nos chefs d'état se venge dans le plus grand dés secret pour lés intérêt ďu femmes est hommes. Hommage à tous nos morts.

    C’est l’un des secrets les mieux gardés de la République : en son nom et sur ordre des plus hautes autorités, des tueurs sont disponibles à tout moment pour éliminer des personnes jugées dangereuses pour la sécurité nationale ou conduire des guerres secrètes contre des ennemis présumés.
    Oui, la France tue parfois pour régler des comptes. Oui, la France mène clandestinement depuis des décennies, au nom de la protection de ses intérêts, du Moyen-Orient à la Françafrique, des actions meurtrières inavouables : vengeances d’État, assassinats en série, attentats commandités par l’Élysée, guérillas sanglantes, éradication de chefs terroristes, emploi de mercenaires sulfureux ou de services secrets alliés peu regardants…
    Pour ce faire, la DGSE dispose de son Service Action et, en marge de celui-ci, d’une cellule clandestine dont ce livre retrace l’histoire. Ses agents et des commandos des forces spéciales sont entraînés pour mener à bien ces exécutions ciblées, appelées « opération Homo » (pour homicide), ainsi que des opérations plus vastes de « neutralisation », souvent en marge des conflits déclarés. Les présidents successifs de la Ve République, de De Gaulle à Hollande, ont, chacun à leur manière, recouru à ce type d’actions, même s’ils s’en sont défendus.

    VOUS AVEZ UN LIVRE TRES INTERRESSENT A LIRE 

     


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  • L'ECOLE EN BATEAU 

    Dans les années 70, Léonide Kameneff créa « l'école en bateau», proposant aux enfants une année scolaire autour du monde...Peu en revinrent indemnes. 20 ans plus tard, 9 anciens élèves portent plainte pour viols contre lui. Au moment où le procès s'ouvrait, je fis ce retour sur ce retentissant scandale pédophile...

    Capture d'écran de la page d'accueil toujours active de l'Ecole en bateau

    3 mars 2011

    « L’école en bateau » une affaire de pédophilie qui traîne depuis VINGT ANS ! Une trentaine de viols et agressions sexuelles sur mineurs, cinq mises en examen, l’affaire est relancée en 2008  mais à nouveau le dossier sommeille inexplicablement au parquet du TGI de Paris. L’avocat des parties civiles demande des explications à la justice qui ne répond pas !

    Cette affaire date des années 90 qui virent les dépôts des premières plaintes. .’école en bateau était une association qui recevait de jeunes ados sur un ancien bateau de pêche transformé en centre d’accueil. Objet : « favoriser l’épanouissement intellectuel, psychologique et social de l’enfant ».

    Pourtant  plusieurs anciens « élèves » mineurs à l’époque des faits se sont plaints d’avoir subi des sévices sexuels de la part du skipper Léonid Kameneff qui était aussi le directeur de l’association. Les policiers identifieront ainsi une trentaine de victimes (garçons pour l’essentiel) pour lesquels il n’y avait pas encore prescription.

    Première bavure judiciaire. Dès 1994, le skipper fera deux mois de prison en Martinique. Mais le dossier sera annulé suite à une erreur de procédure.

    Deuxième bavure. En 2002 l’affaire est relancée avec le dépôt d’une nouvelle plainte. Mais cette fois-ci la justice martiniquaise ne s’attarde pas sur cette histoire qui tombe à nouveau aux oubliettes.

    En 2008 l’affaire est relancée pour la deuxième fois. Les parties civiles dénoncent l’immobilisme du juge de Fort-de-France. Le dossier est rapatrié pour être instruit à Paris par le juge d’instruction Nathalie Dutartre. Interrogée par « Le Post » celle-ci a une réponse pour le moins ambigue: « Il ne faut pas faire de surinformation car les choses sont assez compliquées. Cela risquerait d’indisposer les autorités. » Néanmoins elle lance un mandat d’extradition contre Leonid Kameneff, met en examen quatre autres membres de l’encadrement avant d’être mutée.

    Le dossier est alors confié à une autre juge, Mylène HUGUET et depuis plus rien sinon que Leonid Kameneff est remis en liberté sous contrôle judiciaire le 14 sept. 2009…

    Il faut se souvenir que Leonid Kameneff avait déjà été inquiété par la justice dès 1982 dans l’affaire de pédophilie dite « Coral ». Quelques 340 personnalités impliquées seront miraculeusement blanchies, l’Etat français ayant classé cette affaire « secret défense » par le biais du dossier « Zandwoort ».

    Aujourd’hui les victimes se demandent si un jour leur affaire sera jugée  !

    On peut légitimement s’interroger: les remises en liberté successives de Kameneff ne sont elles pas le prix de son silence dans l’affaire « Coral » dans laquelle étaient impliqués, entre autres, quelques magistrats ?

    Deni de justice »  le 03/03/2011

    Deni de justice souhaite connaître les noms : 1) des magistrats de Fort de France auteurs de la première bavure et ceux qui enterrent le dossier, 2) du proc’ du TGI de Paris qui garde le dossier sous le coude.

    Le naufrage de " l'école (pédophile) en bateau"


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