•  Le plus grand scandale foncier Algérien révélé !Posté Par :Pieds Noirs 9A..

    Politique Algérienne

    Sexe et business, le chaud cocktail !

    Profitant des biens spolier aux Français après le 19 mars 1962 ...

    Oran / Audition de « Madame Fatiha » : Hamel, 9 Magistrats, 4 Colonels… Le plus grand scandale foncier Algérien révélé !

    La responsable du CADASTRE de Tlemcen, « Madame Fatiha », maîtresse du Procureur de la République de cette même wilaya, limogé jeudi 15 août, a été auditionnée.

    Ainsi, les affaires dans lesquelles est impliquée cette responsable vont bien au-delà des 50 hectares de terrains spoliés que Ma Revue De Presse rapportait dans une précédente édition.

    Le compte rendu rapporté par le site Algérie Part, dans son édition de ce dimanche 18 août, est tout simplement incroyable…

    Au cours de son audition « Madame Fatiha » commencera par donner le nom du Directeur de l’Agence Foncière d’Oran, Mohamed Mebarki. Arrêté, ce dernier n’a pas mis longtemps pour se mettre à table, mettant à nu l’un des plus grands scandales fonciers de l’histoire du pays. 

    Hamel, 9 magistrats, 4 colonels, des hauts gradés du DRS et de l’ANP…

    Les noms de 9 magistrats, 4 colonels de la gendarmerie nationale et le premier responsable d’un centre de sécurité stratégique des services secrets, l’ex-DRS, à Oran, ont été évoqué par le Directeur de l’Agence Foncière.

    Le site indique que grâce à son témoignage, les Services de Sécurité ont procédé également à l’arrestation de :

    • Yamni Hamel, frère l’ex DGSN Abdelghani Hamel,
    • Un Colonel de l’ANP à la retraite qui avait officié au niveau de la Marine nationale.

    Toutes ces personnalités ont profité d’un détournement à large échelle des assiettes foncières destinées à la construction de logements publics. Ces assiettes foncières ont été détournées pour être octroyées à ces potentats et dirigeants locaux afin de les revendre sur le marché à prix d’or.

    Les Heureux bénéficiaires…

    Le scandale concerne des terrains destinés à abriter des immeubles d’appartements dans le cadre de la formule du Logement Promotionnel Aidé (LPA).

    Parmi ces heureux bénéficiaires Algérie Part cite :

    • L’ex-chef de sûreté de la wilaya d’Oran, Nouasri Salah. Ce dernier a même reloué l’un de ses lots de terrains détournés au centre de traitement des dossiers de visas Schengen au profit de l’ambassade de France à Oran, le célèbre centre TLS !
    • D’influents notables,
    • Des procureurs,
    • Des commissaires,
    • Et d’autres non encore répertoriés.

    Senia, Canastel, Le Rocher…

    Selon Algérie Part les lots de terrains détournés sont situés dans tous les centres stratégiques d’Oran, à savoir :

    • 12 lots à Senia,
    • 15 à Canastel,
    • 6 lots au quartier le Rocher,
    • Et d’autres non encore répertoriés.

    Plusieurs de ces terrains ont été revendus à des prix exorbitants et l’argent est parti dans les poches des hauts responsables corrompus qui ont profité de la « générosité » et la complicité du directeur de l’agence foncière d’Oran, Mohamed Mebarki. Ce dernier a été arrêté au niveau de la plage de Coralès à bord d’une embarcation de fortune, alors qu’il tentait de prendre la fuite vers l’Espagne !

    https://marevuedepressedz.com/



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  • Histoire d’un homme qui voulait prendre une bière à Alger..Posté Par: Pieds Noirs 9A..
     
    (((Pour ceux qui connaissait Alger période Française ,voilà de ce qui est Alger 50 ans plus tard ..Par Choufchouf L'Algérien )))...
    Lisez et demain le sol Français sera de même !!!

     

     

     Histoire d’un homme qui voulait prendre une bière à Alger..

    L’incroyable et inimaginable histoire d’un homme qui voulait prendre une bière à Alger..

                Alger est une ville de lumière. Mais il suffit que le jour décline pour que la Blanche se transforme en gouffre. Vers dix-sept heures, et avant que les milliers de minarets ne hurlent la prière du crépuscule, les rues se vident d’un coup des filles et des femmes, déjà toutes voilées et il ne reste, collés aux murs, qu’un magma d’hommes, barbus, moustachus, ou coiffés à l’iroquoise et dégoulinant de gel, fumant clope sur clope. Alger devient alors une coulée de mélancolie. Tout y tombe en ruines, les hommes, les chats famélique, jaunes et sales, les immeubles haussmanniens dont toutes les cages d’ascenseur n’ont plus d’ascenseur depuis des lustres; et même la mer perdue sous des rafiots qui crachent leur mazout avec des bananes, de la semoule, de l’ail chinois et des escalopes de dindes importées de Patagonie. Le ciel, noir, se remplit alors du parfum d’Alger, de la pisse mélangée à l’huile de friture des sardines.

                J’y étais il y a trois semaines. Et un soir, je ne sais pas pourquoi, je me suis dit, je vais prendre une bière, pourquoi ? Comme ça pour le plaisir. Les yeux fermés, je me suis dirigé vers la brasserie des facultés, la Brass, notre Flore à nous, comme on dit, située juste en face du lycée Delacroix où se trouvait notre département de littérature française. J’ai poussé la porte, le lieu était vide, deux serviteurs perdus au milieu d’une salle avec des nappes rouges et sales m’accueillent : – C’est pour prendre un verre ? – Oui, par exemple – On ne sert plus. Le plus jeune me regarde d’un air méprisant. je lui demande s’il existe encore un autre bistrot dans le coin. Il me répond – Non, je ne peux pas vous le dire. C’est haram (1). J’ai claqué la porte. Je me suis dit il suffit que j’aille juste à côté, à la rue Charasse, là il y a le Marhaba, le bar fait les meilleurs sandwichs à la viande hachée et à la coriandre fraîche et il est juste à côté de la librairie Dominique où pour dix dinars j’achetais l’intégrale de Soljenitsyne et de Maïakovski.

                J’ai pris la rue Charasse. Le Marhaba n’existe plus, ainsi que la librairie scientifique. Dominique est devenue librairie Ijtihad (2), « exégèse coranique ». Qu’à cela ne tienne, il suffit de descendre vers Maurétania; au bout, il y a la grande brasserie Maurétania juste en face de l’immense immeuble bleu d’Air France, et si elle est fermée, il suffit de prendre à gauche, le boulevard Amirouche et passer devant le magasin des beaux-arts, l’Arc en ciel, avant d’arriver au Boul Mich. L’établissement jouxte le restaurant universitaire. Il dispose d’une salle au sous-sol, avec un dancing et ses fenêtres donnent sur le port d’Alger. On y mangeait des sardines servies à foison avec de la pelure d’oignon avec nos copines étudiantes qui fumaient des Craven A. J’ai pris la rue Charasse, la brasserie a été remplacée par un magasin de meubles, l’immeuble d’air France n’existe plus, pas plus que l’arc en ciel et j’ai poussé la porte du Boul Mich. A la place des filles fumant des Craven A, une foule de barbus sirotant des cafés crème et suçant avec avidité des cigarettes électroniques. Je ressors, face au commissariat central et sous les arcades de la banque extérieure d’Algérie, des dizaines de femmes, avec des bébés et des enfants, disposent des cartons et ou des couvertures par terre pour passer la nuit. Je demande au policier ce qui se passe: – Ce sont des jeunes mariées, chassées par leur mari. Elles viennent passer la nuit face au commissariat central pour ne pas être violées. Elles partent à l’aube.

                Je me rappelle alors du Coq Hardi, la brasserie mythique d’Alger, avec Wahab on y passait du temps, elle est située au cœur de la rue Didouche avec une double baie vitrée, les serveurs étaient en nœud papillon et on y vendait le Monde à la criée. J’ai repris la rue Berlioz, où le Berlioz n’existe plus, en haut de l’escalier, un immense trou a remplacé la pâtisserie la Parisienne, ah les croissants de la Parisienne, Je me suis dit que je devrais passer par le passage souterrain de la place Audin. Sur les escaliers, il y avait un joueur de banjo aveugle et à l’intérieur un disquaire aux cheveux très longs qui m’avait fait découvrir le 666 des Aphrodite-Childs. Au fond du passage, il y avait un pèse personne automatique et un horoscope mécanique rouge. On y glissait une pièce de 20 centimes et on avait imprimé sur du papier kraft toujours cette même prédiction: « Bonjour, vous allez être très heureux et connaître beaucoup de bonheur. » Longtemps, j’ai soupçonné Boumediene lui-même d’être l’auteur des messages de cet horoscope démoniaque. Dans le passage, il n y a plus de musicien, mais des vendeurs à la sauvette de fausses Nike et de vraies culottes rouges; le disquaire a disparu, il est sûrement grand père et a dû vendre toute sa collection de Rock pour se payer un Voyage à la Mecque et laver son « passé », comme on dit.

                Plus haut, je cherche le Coq Hardi partout et ne le trouve pas. J’arrête des gens: – Les coq quoi ? – Le coq Hardi, c’est bizarre, c’était au temps de la France ? – Non au temps de Boumediene – Et on acceptait des noms comme ça? – Et il faisait quoi le coq hardi, il vendait du poulet ? — Non c’était une brasserie Souvent l’échange se terminait ainsi – Que Dieu vous ramène dans le droit chemin. Je tombe à la fin sur un algérois, un fils du quartier: – Vous cherchez quoi? – Le Coq Hardi, je ne rêve pas il était bien là, sur ce trottoir, je ne rêve pas – Non, il était bien là, mais la ville d’Alger l’a rasé – Pourquoi? – Parce qu’il gênait la circulation – Mais il n’était pas au milieu de la route, il était sur le trottoir – Justement, les gens picolaient à la terrasse et ça gênait les gens qui passaient en voiture. La brasserie faisait pourtant partie de l’histoire de la bataille d’Alger…. En remontant la rue Didouche, j’ai vu que les librairies, Ibn Khaldoun, et les Beaux-Arts avaient fermé. Le cinéma l’Algéria, également ainsi que tous les autres bistrots, le Debussy, le Tassili, la Cafette, le Quatz’Arts, le Kenko, …

                Je suis remonté jusqu’ au Rostand, transformé en magasin de chaussures. Quant au Debussy qui était l’une des plus belles salles de la ville, il a été transformé ainsi que le Français en dépotoir. Au Debussy, je crois que j’ai vu tous les films de Visconti et j’ai même assisté aux émeutes provoquées par  » Cris de Femmes  » de Jules Dassin. Le film avec Mélina-Mercouri était une variation autour du mythe de Médée. Mais le titre était trompeur et tous les algérois avaient compris qu’il s’agissait d’un film sur l’orgasme. Le jour de la première, il a fallu faire intervenir la police anti émeutes pour contenir les assauts de la foule et Jules Dassin lui-même étaient sidéré par cette marée de cinéphiles, venus de Cap Matifou, de Tipaza, de Tizi et même de Boussaâda pour voir Mélina-Mercouri. Le lendemain el Moudjahid, notre Pravda titrait  « Le public algérois en liesse pour la mythologie grecque. La preuve que le niveau intellectuel des masses populaires augmente de jour en jour grâce au socialisme ». Ce que le quotidien ne disait pas c’est que la salle, au bord de l’explosion, se vidait dix minutes après le début du film. Je me suis rendu compte aussi de l’absurdité de la situation, il est impossible d’arrêter quelqu’un dans la rue et lui demander s’il connaît une brasserie. C’est con de se faire lyncher pour une Kronenbourg.

                La nuit tombe. Alger s’enfonce davantage dans le noir. Les jeunes délabrés se confondent avec les murs délabrés. Des policiers sales hurlent dans des talkies walkies d’un autre âge. Sur les balcons, tous condamnés par de lourdes grilles en fer, des femmes adipeuses secouent des nappes trouées. De tout Alger que j’ai connu, il ne reste qu’une seule boutique  » L’étoile d’or », un bouquiniste chez qui on peut trouver le chasseur français de 1964, ou les œuvres complètes de Castoriadis. Malgré le temps qui a passé on se reconnaît. Il faut dire que j’y allais presque tous les jours – Tu es passé où ? – A Paris – Comment tu fais pour vivre là-bas, les bouquins sont hors de prix – Et toi, comment tu fais pour tenir – Pour le plaisir, chaque jour j’ai dix offres pour faire de la boutique une pizzeria mais je préfère crever au milieu des livres que de la mayonnaise. A Alger, la mayonnaise est considérée comme un signe de luxe, on en recouvre les pizzas et même les glaces à la vanille. Vers 19 heures, j’ai traversé le marché Meissonnier, je suis descendu vers la rue Hoche et là je vois un établissement avec une porte blindée, gardée par un cerbère large comme un frigo américain. Je lui murmure à l’oreille: – Mon frère, c’est un bar Lui me susurre à son tour – Oui, vite rentre. Je pousse la porte. D’abord il y a la fumée et puis cette odeur âcre de la transpiration quand on essaye de la camoufler avec des litres d’eau de Cologne. Une lumière tamisée. Des hommes assis, ou affalés devant des tables recouvertes de monticules de bières.

                Personne ne parle à personne. Chacun boit seul. Chacun soliloque dans son coin. Au fond de la salle, il y a un immense poster avec des montagnes du Canada enneigées. A côté des toilettes, deux putes, qui doivent être là depuis René Coty et qui achèvent de tomber en poussière. On entend les toilettes qui débordent et on voit l’eau qui arrive à la salle. Personne n’est là pour s’en rendre compte. Au bar, une serveuse, les cheveux passés mille fois à l’eau oxygénée, les dents en or, le décolleté qui lui arrive jusqu’à la pomme d’Adam et le ventre qui tombe sur les genoux. Elle vient en courant vers moi – Que puis-je vous servir, Monsieur ? A ce moment-là retentit l’appel à la prière de la nuit, la dernière. Je me sens d’un coup las et au bord de la conversion. Je sens que ce bar algérois sera mon chemin de Damas. Je jette un coup d’œil aux putes qui rient, aux hommes saouls, et je me sens dans la peau de Saint Paul quittant dans un couffin la chapelle d’Ananie. Je regarde la serveuse dans les yeux et lui dis: – Je voudrais un verre d’eau et un tapis de prière bien frais, ma sœur, que Dieu nous protège tous les deux.

    CHOUFCHOUF

    Histoire d’un homme qui voulait prendre une bière à Alger..


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  • Dans un bus de la banlieue d'Alger, un soir du 31 décembre ..Posté Par :Pieds Noirs 9A..

     (TÉMOIGNAGE) 

    Dans un bus de la banlieue d'Alger, un soir du 31 décembre ..

     

    Transport en commun à Alger: Un autobus nommé désir

    Le train qui m'emmène vers ma banlieue est à son accoutumée en retard en ce 31 décembre 2014. Un retard qui ne surprend plus les voyageurs mais non sans les irriter. Nous arrivons après le crépuscule à cet arrondissement de l'Est algérois.

    À l'horaire convenu tacitement et quasi unanimement pour que les trottoirs et les endroits publics soient vidés de toute créature humaine de sexe féminin. Je fais partie donc des retardataires soupçonnées de... Je ne comprendrais jamais quoi.

    "Si ces filles avaient une famille, elles ne seraient pas dehors à cette heure-ci", lance un drille sur notre passage. Il n'était pourtant que 18 :25!

    "Maandkoumch Lahkim" (vous n'avez pas de tuteur), vocifère un autre depuis sa voiture. Il avait l'air très jeune, pas encore la trentaine, et il se révoltait déjà de ne pas voir certaines adultes toujours sous "tutelle" à l'heure où l'Est du monde est déjà passé à 2015.

    En attendant mon 2015, je me réjouis déjà de trouver un bus qui m'emmène vers chez-moi, car ici, la desserte se fait d'une manière aléatoire après 17:30, selon les humeurs des chauffeurs de bus.

    Toisée par des regards désapprobateurs, je m'installe à deux rangées de l'arrière entourée de jeunes hommes dont quelques étudiants, comme on pouvait le déduire de leurs conversations.

    Nous sommes trois femmes au total à causer le désagrément chez les hommes de ces bourgades si proches pourtant si éloignées d'Alger.

    Le bus démarre après une surcharge de passagers. Une jeune fille assise au dernier siège demande à son voisin d'ouvrir la fenêtre, lequel refuse violemment. La demoiselle lui dit qu'elle n'arrive plus à respirer, et le monsieur lui lance méchamment: "Je ne l'ouvre pas et essaies de venir l'ouvrir!".

    "On est dans un endroit public, on ne peut pas agir à notre guise. Il y a des asthmatiques, des hypertendus, des personnes qui ont un problème de souffle, c'est l'intérêt collectif qui prime. Chez nous, on fait ce qu'on veut, pas en société", lui rétorque-t-elle d'une voix ferme.

    Se sentant humilié par une femme qui "ose élever sa voix", le trentenaire l'insulte en lui demandant de "fermer sa gueule".

    La "malédiction"

    Le jeune assis à mes côtés se lève d'un air vif et se retourne vers eux pour dire: "Eh madame, fermes ta gueule, tu as poussé un homme à t'insulter en public, tu n'as pas honte!".

    " Tu veux le confort prends un taxi" lance un autre à l'avant du bus.

    Un jeune aux allures modernes, plutôt beau gosse, qui était debout devant moi, observait la scène en murmurant des mots imperceptibles. L'ayant entendu prononcer des phrases en français auparavant, j'attendais qu'il intervienne pour "équilibrer la balance".

    Il finit par parler avec un accent algérois: "Errdjal Saktin Ou Enssa Yahadrou (les hommes se taisent et les femmes parlent)", dit-il à ma grande stupéfaction. Il ajoute: "Dieu va nous maudire".

    "Il a déjà commencé à nous maudire depuis que les femmes sont devenues juges et procureurs dans ce pays" réplique mon voisin de chaise.

    "Ce n'est que le début", rajoute un autre de loin, également d'un pur accent algérois en argumentant sa pensée: "Regardez la hausse des prix des fruits et légumes malgré toute la pluie de l'année dernière. Nous n'avons que le pétrole, et son prix a chuté aussi. N'est-ce pas là une grande malédiction?".

    On refera un nouveau Raïs!

    Un vieil homme debout à l'avant de ce bus de transport privé de marque asiatique rassure sa junte: "Bouteflika n'est pas éternel, il partira et on refera un nouveau Raïs partout en Algérie".

    "In Chalah" crient la quasi-totalité des passagers. Raïs est, pour rappel, le village tristement célèbre situé à la frontière des wilayas d'Alger et de Blida, où un terrible massacre a été perpétré un 28 août 1997.

    Le chauffeur qui ne sent pas concerné pas le lynchage d'une cliente par d'autres clients sourit au vieil homme porteur de rêve de massacre de Raïs.

    Son receveur "indifférent", fourre son nez dans sa pochette pour séparer les billets des pièces de monnaies. Consciente de mon incapacité physique à faire face au gaillard qui violentait verbalement la demoiselle, je décide lâchement de faire profil bas.

    Que faire devant cette scène surréaliste où des dizaines d'hommes se prêtent main forte pour faire taire une femme et lui rappeler sa "place" de sous-humain, voué à la servitude et l'obéissance?

    Avec un propriétaire de transport public que ne sent pas tenu de protéger ses passagères et des jeunes étudiants qui croient que cette "liberté des femmes" prétendument "accordée par Bouteflika" est à l'origine de la flambée des prix des denrée alimentaires et la chute des prix du pétrole!

    Et bien entendu, elle a été la cause des tremblements de terre, inondations, tsunamis et volcans! Et, le comble, avec des gens qui rêvent carrément de remettre leur pays à feu et à sang, des questions anachroniques me traversent l'esprit.

    À 30 km de la "Mecque des révolutionnaires"

    Nous sommes à une trentaine de kilomètre de la ville d'Alger qui fut la "Mecque des révolutionnaires", et quelques siècles auparavant, la ville où l'on venait de tout l'empire Ottoman et le sud de l'Europe pour "se civiliser".

    Je fais tout de même partie d'un pays qui se vante de son Histoire d'émancipation du colonialisme et de toute sorte de servitude et d'humiliation humaine. Le choix socialiste qui en a suivi, avec tous ses inconvénients, ne reposait pas non plus sur la minorisation d'une partie de la population, bien au contraire.

    Je me pose des questions. Ces gens-là n'ont-ils jamais bénéficié d'un plan d'intégration culturel et civilisationnel? Ou est-ce la décennie noire qui a fait de l'écrasement de la moitié de la société un idéal, même chez des gens qui vont à l'université?

    Sidérée! Mais je n'ai pas le temps de soliloquer sur la psychologie du chaos, Je m'apprête à mener mon ultime combat de la journée.

    Je presse le pas en priant Dieu, les esprits, la force surnaturelle, les étoiles, je ne sais quoi, pour rentrer chez moi sans incident. Je halète en baissant mes yeux pour qu'ils ne croisent pas les regards qui me suivent et me poursuivent de chaque coin de cette ruelle mal éclairée.

    J'arrive à quelques minutes de l'heure "très tardive" de 19h, J'ai encore quelques heures devant moi pour formuler mes meilleurs vœux pour mon pays, en cette nouvelle année. Malgré tout ..

    Témoignage d'une correspondante

    Pieds Noirs 9A..


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  • Par :Pieds Noirs 9A..

    Article N°6241 du vendredi 28 août 2020..

    Montée de la violence et de l’insécurité : finissons-en avec le laxisme post-soixante-huitard.

     

    La France, ce pays qui s'enfonce dans la nuit de la violence et de la délinquance. Macron n'a vraiment aucune autorité,Ce n'est qu'un gamin!...

    Cette description et l'état des lieux sont criant de vérité. La haute hiérarchie policière ne s'intéresse pas ni aux policiers ni à la population. Et encore moins à la délinquance qu'elle ne cherche pas à combattre sur le terrain .En réalité, un seul objectif la guide : sa carrière, sa carrière et sa carrière. En obéissant aveuglément, voire anticipant les volontés, de Beauvau donc de l'Elysée. l' Administration, qui ne sait que fonctionner en circuit fermé, en appliquant les notes, mémos, tableaux de bord, et autres trucs inutiles qui ne servent en rien à faire appliquer la loi dans la rue (et ailleurs)...

    Triste, inquiétant et irréversible.

    L’immigration, et plus spécifiquement les problèmes d’intégration qui en découlent, malgré ce que martèle la gauche bien-pensante, sont également très largement responsables de la montée de l'extrême violence. Le lien entre délinquance, immigration et intégration n'as jamais pût ce démontrer , déà dans Le Déni des cultures, disons-nous« la diversité des cultures » comme facteur majeur de la surreprésentation des immigrés dans la délinquance, tout en affirmant que « les adolescents éduqués dans les familles du Sahel de part la manque d'éducation et par la haine du blanc chrétien de bourrage de cerveaux de par les anciens ,voir leurs propres parent lassés dans le mensonge ,sont de quatre a cinq fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines cinq fois plus . » « Les détenus musulmans surreprésentés dans les prisons Françaises » à un quart la part des musulmans dans l’ensemble des détenus présents dans les prisons Françaises. Il est au fond parfaitement logique que les personnes qui méconnaissent les codes , les valeurs et les lois de la société Française aient du mal à adopter un comportement en adéquation avec ce que le corps social attend d’eux.

    C’est bien ici notre modèle d’intégration de ce vivre ensemble aujourd’hui aux abois  ainsi dans leurs meurs, qui est en partie responsable de la montée de cette délinquance. C’est bien notre laisser-aller vis-à-vis de populations, qui ont tout fait pour importer sur notre territoire leurs manières de vivre a leur façon sans se soucier si elles étaient compatibles avec celle du pays d’accueil, dont nous payons aujourd’hui les pots cassés,et ce n'est que le début . La fin du modèle assimilationniste a incontestablement joué un rôle essentiel dans cette montée soudaine de la délinquance et de la criminalité.

    Alors oui, il est plus que temps d’en finir avec l’héritage de Mai 68 ! Il est plus que temps de mettre un terme à ce délitement de l’autorité qui a cassé l’école, la famille, la nation, la justice, ainsi que notre modèle assimilationniste, et qui a provoqué dans notre société cette montée de la violence, de la délinquance et de la criminalité. Il est plus que jamais nécessaire que les jeunes enterrent définitivement un héritage qui n’a eu que pour conséquence de leur léguer un monde sans foi ni loi au sein duquel l’égoïsme a remplacé la recherche du bien commun, l’individualisme le sens de l’intérêt général, et le laxisme le respect que l’on doit autant aux autres qu’à soi-même. C’est à cette révolution conservatrice qu’aspire aujourd’hui la jeunesse, c’est à ce renversement idéologique auquel elle souhaite s’atteler ! Car, comme le disait si bien Saint-John Perse : « La démocratie, plus qu’aucun autre régime, exige l’exercice de l’autorité. »
    Aujourd'hui c'est trop tard, le laxisme et les mentalités ont été poussés beaucoup trop loin pour qu'une action, quelle qu'elle soit, soit possible. Dorénavant . Rien ne bougera tant que la situation ne devient pas vraiment catastrophique,tant que le sang coulera pas ,mais soyez sur ,il coulera par cause de ce laxisme et liberticide, Il faut le dire que les bobos (politiques, showbizz et autres déconnectés de la réalité) ne soient directement inquiétés.
    Nationalité Française ou pas, il faudrait déjà abolir la double nationalité ,car ne serons jamais Français même né en terre Française .

    Pieds Noirs 9A..


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  • Coronavirus : L'utilisation prolongée du masque produit de l'hypoxie... Kesako ?

    Coronavirus :  L'utilisation prolongée du masque produit de l'hypoxie... Kesako ?

    Publié par brujitafr 

    L'utilisation prolongée du masque produit de l'hypoxie... Kesako ?

    L'hypoxie cérébrale concerne un faible approvisionnement en oxygène au cerveau...

    Il y a quatre catégories d'hypoxie cérébrale différentes ; en ordre de sévérité sont : hypoxie cérébrale diffuse, ischémie cérébrale focale, infarctus cérébrale et ischémie cérébrale mondiale...
    Respirer encore et encore l'air exhalé devient du dioxyde de carbone, c'est pourquoi nous sentons étourdissements...
    Cela intoxique l'utilisateur et bien plus encore lorsqu'il doit être mobilisé, réaliser des actions de déplacement.
    Ça provoque le malaise, la perte de réflexes et de pensée consciente.
    Ça génère une grande fatigue...
    En outre, le manque d'oxygène produit une décomposition du glucose et la montée dangereuse de l'acide lactique.

    Certaines personnes conduisent leur voiture avec le masque, c'est très dangereux, parce que l'air vicié peut faire perdre connaissance au conducteur...
    Ce qui est recommandé est de l'utiliser seulement si vous avez quelqu'un en face ou très proche, et il est important de se souvenir de le lever toutes les 10 minutes pour continuer à vous sentir en bonne santé.
    C'est contre-productif pour les personnes qui s'occupent 8 heures du public car ils s'intoxiquent sans le savoir. Toutes les vies sont importantes"...
    Que la prévention ne vous mène pas à un autre problème...
    Portons le masque en connaissance de cause...
    Tel est l'avis des Dr. Dennis A et Castro B...
    C'est ce qui explique pourquoi certains font des entailles à l'intérieur...

    Et vous vous allez faire quoi ?...

     


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